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MEX Madagascar Revue hebdomadaire
Volume: 69
Du 29 Octobre au 02 Novembre 2018
Générée le 05 Novembre 2018
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Métaux précieux |
Open |
High |
Low |
Close |
SPT-GOLD |
3 697 875 |
3 712 837.5 |
3 635 437.5 |
3 695 287.5 |
SPT-SILVER |
44 077.5 |
45 090 |
42 165 |
43 582.5 |
COOPER |
8 260 |
8 460 |
7 930 |
8 448 |
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Avec le cours de l'or qui se maintenant au-dessus des 1231dollars l'once, le cours de l'argent ont grimpé vers les 14.81dollars dépassant la partie supérieur de l’écart des prix de négoces établi depuis la fin aout. Le prix de métal gris a grimpé de 3.9% depuis le point le plus bas de mercredi. Le monde de cuivre ont connu un mauvais résultat pour cette année de 2018, depuis le début de l'année ces matières premières affichent des parcours catastrophiques sur le LME (London Metal Exchange), la chute a été brutal à cause de la défaite dans le début de l'année qui ne laisse pas présager un tel carnage dans un contexte de croissance mondiale synchronisé. Autre exemple, la Cuivre est proche plonger dans un "bear market", un marché baissier, avec un repli de 19% depuis son pic de juin. En un peu plus de deux mois, le cours de métal rouge est passé le plus de 7000dollars la tonne un peu plus de 5900 dollars, et vendredi le prix des métaux de bases échangés sur le LME ont souffert à cause de l'annonce de nouveaux droit de douanes.
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Energie |
Open |
High |
Low |
Close |
BRC-MEXM-JANV18 |
229 230 |
231 390 |
216 480 |
218 190 |
CL-MEXM-DEC18 |
203 070 |
203 850 |
187 980 |
188 350 |
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Concernant les produits énergétiques, pour le pétrole Brent le début de la semaine était marqué par une tendance baissière alors que les investisseurs soupèsent les effets d'une baisse de la demande et l'impact des prochaines sanctions américaines contre le secteur pétrolier iranien. Les cours du pétrole étaient sans direction mardi en Asie après des informations selon lesquelles Washington se prépare à imposer de nouvelles taxes sur ses importations chinoises. D'après l'agence Bloomberg, le président américain Donald Trump prévoit d'imposer de nouvelles taxes sur 267 milliards de marchandises chinoises en cas d'échec de pourparlers le mois prochain avec le président chinois Xi Jinping. Selon les analystes, les investisseurs sont inquiets pour les perspectives mondiales de croissance, tout en restant préoccupés par l'impact du retour la semaine prochaine des sanctions américaines sur les exportations iraniennes de brut. Ensuite, Les cours du pétrole rebondissaient mercredi en Asie après avoir plongé dans la nuit, soutenus par l'imminence des sanctions américaines contre Téhéran, mais l'or noir restait lesté par les perspectives d'affaiblissement de la demande mondiale. "Les marchés restent faiblards à cause des inquiétudes sur les conditions économiques mondiales et l'affaiblissement potentiel de la demande d'énergie", a déclaré Benjamin Lu, analyste chez Phillip Futures. Les estimations de la fédération professionnelle American Petroleum Institute sur les stocks hebdomadaires de brut américain pesaient aussi. Selon l'Institut, les stocks ont augmenté de 5,7 millions de barils durant la semaine achevée le 26 octobre, ce qui serait la sixième semaine consécutive de hausse. Malgré tout, l'or noir est soutenu par la perspective du rétablissement des sanctions américaines contre les exportations de brut iranien. Les cours du pétrole continuaient jeudi d'être pénalisés par les stocks américains et les craintes de voir l'or noir iranien se retrouver sur le marché malgré les sanctions américaines. D'après l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), les stocks de brut ont augmenté lors des six dernières semaines de près de 32 millions de barils. Les cours du pétrole étaient orientés à la baisse, vendredi en Asie, en raison des craintes de surabondance de l'offre avant l'entrée en vigueur des sanctions américaines contre l'Iran. Les cours du pétrole avaient de nouveau nettement baissé jeudi, à leur plus bas niveau depuis plusieurs mois.
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Agriculture |
Open |
High |
Low |
Close |
WT-M-SEP18 |
15 330 |
15 450 |
14 700 |
15 249 |
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Les prix des céréales européennes étaient en faible hausse en début de journée sur Euronext, dans un marché très calme. Le maïs subit « la pression liée notamment aux importations d'origine est-européenne et à la récolte record qui se profile en Ukraine », attendue à plus de 32 millions de tonnes, selon le cabinet Agritel. « Autre facteur déprimant pour le marché, outre les mesures américaines sur le commerce mondial : la fièvre porcine qui s'étend un peu partout dans le monde et qui pourrait aboutir à une baisse de la demande (de céréales, NDLR) dans la filière élevage », ajoute Agritel.À 12h00 (10h00 GMT) sur Euronext, la tonne de blé gagnait 0,50 euro sur l'échéance de décembre, à 200,25 euros, et 0,25 euro sur l'échéance de mars, à 203,25 euros. À la même heure, la tonne de maïs gagnait 0,50 euro sur l'échéance de novembre, à 166,50 euros, comme sur celle de janvier, à 171 euros.Maïs, blé et soja en ordre dispersé face à l'avancée des moissons. Les cours du maïs et du blé ont légèrement progressé mardi à Chicago tandis que ceux du soja ont un peu reculé alors que les moissons, à la faveur d'un temps favorable, se poursuivent tranquillement aux États-Unis. Selon un rapport hebdomadaire du ministère américain de l'agriculture diffusé lundi soir, les moissons de maïs étaient au 21 octobre effectuées à hauteur de 49 % contre 39 % la semaine précédente et 47 % en moyenne sur les cinq années précédentes à cette époque. Le soja était pour sa part moissonné à hauteur de 53 %, contre 38 % la semaine précédente, et 69 % en moyenne à cette époque. La proportion de maïs et de soja considérée comme bonne à excellente n'a pour sa part pas bougé, à respectivement 68 % et 66 %. Du côté du blé, les semis de la récolte d'hiver étaient réalisés à hauteur de 72 % au 21 octobre, contre 65 % la semaine précédente et 77 % en moyenne à cette période de l'année. « Pour l'instant, la récolte de blé s'annonce plutôt bien aux États-Unis », a remarqué Jason. Roose. « On surveille encore de près les récoltes en Russie, en Ukraine et en Australie mais la quantité de blé dans le monde reste abondante et la progression du prix devrait rester limitée », a-t-il estimé. (CHICAGO)Le blé à l'équilibre, soutien d'un achat algérien et de la monnaie, les prix du blé étaient à l'équilibre mercredi après-midi, soutenus par un achat important de l'Algérie et un contexte monétaire favorable, après plusieurs jours de baisse. Après avoir augmenté auparavant en raison de retards de moissons sur d'autres cultures aux États-Unis et au Canada, le blé a subi un contrecoup depuis la fin de la semaine dernière : les cours ont fortement baissé en raison d'une amélioration des conditions climatiques et d'une forte reprise des moissons, rappelait Alexandre Boy, analyste en chef au cabinet Agritel. Mais « vu les nouvelles qu'il y a aujourd'hui, le blé n'a pas vocation à casser son support » de 200 euros la tonne, soulignait-il. Le prix de la tonne de blé était inchangé mercredi sur l'échéance de décembre, à 201 euros, et perdait 25 centimes sur l'échéance de mars, à 204 euros, pour un peu plus de 10 000 lots échangés.L'euro a touché un plus bas depuis deux mois face au dollar, après avoir brusquement baissé à la publication d'indicateurs décevants concernant la production manufacturière en France et en Allemagne. Vers 15h30 (13h30 GMT), la devise européenne flirtait avec les 1,1400 dollar. Autre élément de support, l'annonce d'un achat algérien de 500 000 à 600 000 tonnes de blé pour des livraisons au mois de décembre, « à des niveaux correspondant à ce que pourraient proposer des Français », soulignait Alexandre Boy. Cet appel d'offres, qui intervient trop tôt pour les blés argentins et les écarte donc de la course, devrait représenter une bonne demande pour le blé français. Maïs, blé et soja en baisse avant un rapport sur les ventes à l'étranger, les cours du maïs, du soja et surtout du blé ont reculé mercredi à Chicago, fléchissant en pleine saison des moissons dans un marché peu enclin au risque en attendant un rapport sur les ventes à l'étranger.« L'anticipation d'une récolte abondante aux États-Unis et l'absence d'informations susceptibles de faire monter les cours empêchent les prix de vraiment avancer », ont souligné les analystes de la maison de courtage Allendale.Les investisseurs sont notamment dans l'attente des chiffres hebdomadaires du ministère américain de l'Agriculture (USDA) sur les ventes à l'étranger, diffusés jeudi. Ils se demandent en particulier si les producteurs américains vont finir par profiter de la récolte moins abondante que l'an dernier en Russie pour écouler un peu plus de leur blé sur le marché mondial. La hausse du dollar mercredi n'encourageait pas cette perspective, un billet vert plus élevé renchérissant le prix des produits américains pour les acheteurs munis d'autres devises. Les investisseurs sont également dans l'attente de nouvelles informations sur les discussions commerciales entre la Chine et les États-Unis, alors qu'est évoquée une possible rencontre entre le président américain, Donald Trump, et son homologue chinois, Xi Jinping, lors du sommet du G20 en Argentine, prévu les 30 novembre et 1er décembre. Pékin a imposé en juillet des taxes à l'importation très élevées sur le soja américain, en représailles à des mesures similaires de la part de Washington. Rebond technique pour le blé sur EURONEX. Les prix du blé remontaient vendredi à la mi-journée sur Euronext, à la faveur d'un rebond technique, après une baisse assez nette jeudi dans le sillage de Chicago. La remontée des prix s'expliquait aussi par la publication de nouvelles estimations à la baisse de récoltes de plusieurs zones géographiques. La commission européenne a ainsi abaissé à 127,4 millions de tonnes (Mt) la récolte de blé, contre 128,7 Mt lors de la précédente estimation, rapportait le cabinet Inter-Courtage. En Argentine, également, la bourse de Buenos Aires a diminué de 300 000 tonnes sa prévision à 19,4 Mt, à la suite de récentes vagues de froid tardives et aux dégâts de la grêle, rapportait de son côté le cabinet Agritel. Peu avant 14h30 (12h30 GMT) sur Euronext, la tonne de blé regagnait un euro sur l'échéance de décembre à 200,25 euros et un euro également sur celle de mars à 203,50 euros, pour 10 000 lots échangés, dans un marché à l'activité moindre, en raison de la bourse européenne des grains à Rouen. La tonne de maïs était pour sa part à l'équilibre, reculant de 25 centimes sur l'échéance de novembre à 166 euros et progressant de 25 centimes sur celle de janvier à 169,25 euros, pour 500 lots échangés.
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HEURE |
DEVISE |
EVENEMENTS |
Lundi, 05 Novembre 2018 |
12H00 |
GBP |
Services PMI (oct) |
16H10 |
CAD |
Le gouvernement de la BoC, Poloz, parle |
18H00 |
USD |
PMI ISM non manufacturier (octobre) |
Mardi, 06 Novembre 2018 |
06H30 |
AUD |
Relevé de taux RBA |
18H00 |
USD |
Offres d'emploi de JOLT (septembre) |
Mercredi, 07 Novembre 2018 |
00H45 |
NZD |
Changement d'emploi (QoQ) (Q3) |
18H00 |
CAD |
Ivey PMI (octobre) |
18H30 |
USD |
Les stocks de pétrole brut |
23H00 |
NZD |
Relevé de taux RBNZ |
Jeudi, 08 Novembre 2018 |
22H00 |
USD |
Déclaration du FOMC |
22H00 |
USD |
Décision de la Fed sur les taux d'intérêt |
Vendredi, 09 Novembre 2018 |
12H30 |
GBP |
PIB (glissement annuel) (T3) |
12H30 |
GBP |
Production manufacturière (MoM) (septembre) |
16H30 |
USD |
IPP (MoM) (octobre) |
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avec le Département Gestion de la Faculté DEGS de l’Université d’Antanarivo |
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