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MEX Madagascar Revue hebdomadaire Volume: 82 04 Février au 8 Février 2019 Générée le 11 Février 2019 |
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Les derniers contrats à terme sur l'or se sont négociés pour la dernière fois à 1 h 32 (01h16 GMT) sur la division Comex du New York Mercantile Exchange, en baisse de 0,1%. Dans le même temps, l’indice en dollars américains qui suit le billet vert par rapport à un panier d’autres monnaies s’échangeait près d’un maximum de deux semaines vendredi. L'indice s'est échangé pour la dernière fois à 96,345, en hausse de 0,1%. Malgré la chute d’aujourd’hui, les prix du lingot ont grimpé d’environ 13% depuis le creux de leurs plus bas niveaux en un an et demi en août. Les marchés boursiers volatils, un dollar américain plus faible et la Réserve fédérale américaine dovish ont tous été cités pour soutenir le métal précieux. Jeudi, le président américain Donald Trump a déclaré qu'il ne rencontrerait pas son homologue chinois Xi Jinping avant la date butoir du 1er mars de leurs pays pour parvenir à un accord commercial, ce qui soulèverait des incertitudes sur l'accord commercial entre les États-Unis et la Chine. Ses commentaires ont eu lieu après que Lawrence Kudlow Traders, conseiller à la Maison-Blanche, eut déclaré à Fox News cette semaine qu'il restait une "distance considérable" dans les discussions commerciales entre les deux pays. Le prix de l’or a augmenté jeudi après les commentaires de Kudlow, mais a cédé une partie de ses gains aujourd’hui.
Trump a menacé d’augmenter les tarifs américains sur les importations chinoises si les deux parties ne parviennent pas à un accord avant la date limite de mars. Une autre série de discussions est prévue pour la semaine prochaine à Beijing. De même selon l’analyse technique de cette semaine révèle que le métal précieux a inversé un plongeon précoce et a atteint un sommet de nouvelle session au cours de la dernière heure, augmentant pour la deuxième session consécutive. La dynamique positive a été suffisamment forte pour amener le produit de base au-delà d'une formation de canal de tendance décroissante sur le graphique à une heure. Les indicateurs techniques figurant sur les cartes mentionnées commencent tout juste à gagner du terrain et renforcent les perspectives d'une extension de la tendance haussière intra-journalière. Une force de suivi au-delà de 200 heures ajoutera de la crédibilité à la cassure haussière à court terme et ouvrira la voie à un mouvement d'appréciation supplémentaire. Marchés Argent a tenté de rallier un peu au cours de la séance de bourse jeudi mais a basculé à nouveau alors que nous continuons à planer autour de la région de 15,70 $. Il s’agit d’un domaine qui procède à l’appui, donc je pense que nous pourrions obtenir des acheteurs à ce stade, mais la journée 20 EMA commence à capoter un peu. Que cela signifie-t-il ? Cela signifie que nous pourrions très bien dériver un peu plus bas. Je pense que nous devrons vérifier le niveau de 50,50 $ dessous pour trouver plus d’acheteurs. Il n’est pas une énorme surprise que nous avons lutté juste au-dessus du niveau de 16 $ étant donné que c’est un grand, rond, personnage important psychologiquement et une zone qui où nous avions vu beaucoup d’action dans le passé. COLUMBUS, Ohio, Feb. 7, 2019 /PRNewswire-PRWeb/ -- Copper Run, une société de conseil en fusions et acquisitions de premier plan, s'est étendue à Cleveland pour répondre à la croissance rapide de la demande de services bancaires d'investissement des entreprises du marché intermédiaire. Le nouveau bureau de Copper Run est situé à Independence. Cette entreprise en pleine croissance a nommé Matthew Roberts au poste de vice-président, dirigeant les opérations dans le nord-est de l'Ohio. Roberts, auparavant de MelCap Partners à Cleveland, sera responsable de l'approvisionnement et de l'exécution des transactions avec principalement des entreprises de taille moyenne, desservant une variété d'industries incluant la fabrication, les services aux entreprises, l'énergie et la santé. "Nous sommes ravis que Matt se joigne à l'équipe de Copper Run ", a déclaré Andy Hays, cofondateur et président de l'entreprise. "Il veillera à ce que Copper Run continue à servir les entreprises du nord-est de l'Ohio, maintenant avec des opérations locales pour soutenir le flux croissant de transactions avec un niveau de partenariat auquel nos clients s'attendent." |
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En début de semaine, le cours du pétrole a flambé pour dépasser la barre des 63$ le baril. Ainsi, le pic de ce début 2019 a été atteint dû notamment aux diverses décisions impactant l’Offre mondiale de pétrole. En effet, les principaux pays-acteurs font face à des situations tendant à maintenir les prix hauts.
Ainsi, parmi les facteurs influençant cette tendance, on note la diminution de la production annoncée par les pays membres de l’OPEP et des pays non membres comme la Russie, accompagnée des sanctions imposées par Washington au Vénézuela suite au conflit politique opposant l’actuel président Nicolas Maduro et le président autoproclamé Juan Guaido, soutenu par les USA ainsi que la majorité des membres de l’Union Européenne. On estime donc une baisse des exportations du Vénézuela vers les USA, passant de 800 000 barils par jour à 300 000 barils par jour ; un impact conséquent se fait donc ressentir car plusieurs raffineries américaines utilisent ce pétrole notamment pour le raffinage du Diesel. Toutefois, en fin de semaine, le prix du pétrole a terminé en baisse, notamment suite à l’annonce de la Lybie concernant l’augmentation de sa production et de son offre de pétrole. A cela s’ajoutent la baisse de la demande mondiale en matière d’énergie (principalement lié à l’évaluation du Dollar) ainsi que le ralentissement de la croissance économique Chinoise, la Chine étant le premier importateur mondial de pétrole. Ainsi, l’Offre et la Demande seront en processus d’équilibrage pendant la semaine du 11 Février 2019. Cette semaine, les prix de l’essence ont encore chuté, le marché clôturant aujourd’hui en baisse de 11 cents à 2,55 $ par MBtu pour le mois de mars (mars). Techniquement, le marché américain du gaz a deux saisons: l’été (avril-octobre) et l’hiver (novembre-mars). Le gaz est injecté dans le sol en été et retiré en hiver pour répondre à une demande bien supérieure à la production. Ce système à deux niveaux pour notre marché du gaz est toutefois manifestement trop simpliste. En réalité, le marché américain du gaz est plutôt une triade, été, hiver et automne (automne, printemps). La demande de gaz en saison basse est moindre, car un temps plus clément signifie moins de climatisation que l'été et moins de chauffage que l'hiver. Donc, de plus en plus, déjà favorisé parce qu'il a moins d'émissions de gaz à effet de serre pour lutter contre le changement climatique, le gaz naturel l'emporte quelle que soit la direction que prend notre climat: les étés torrides dévorent le gaz pour l'électricité et les hivers glaciaux le dévorent pour le chauffage. De plus, de plus en plus, le gaz est notre principale source d’électricité, avec 33 à 35% de la production totale, et l’électricité est notre moyen le plus rapide de chauffer les maisons, indiquant encore plus la flèche «gaz, gaz et encore plus de gaz». La question est donc la suivante: les prix du gaz naturel aux États-Unis sont-ils saisonniers? Alors que nous continuons à utiliser davantage de gaz pour l'électricité, le chauffage, la fabrication et l'exportation, cette question est cruciale. Les prix plus bas en hiver, comme nous l'avons vu lors du Polar Vortex 2019, ne sont pas aussi rares que la plupart des observateurs du marché de l'essence le réalisent probablement. Lorsqu'on regarde de 2011 à 2018, on peut généralement dire quelques choses sur les prix du gaz naturel, mais la saisonnalité des prix n'est pas aussi apparente qu'on pourrait le penser. Oui, en règle générale, les prix de l’essence aux États-Unis sont plus élevés et plus volatils lors des mois de forte demande en hiver et plus faibles et moins instables à l’automne. Mais, comme le montre le graphique ci-dessous, les différences saisonnières ne sont pas aussi claires. Quelques autres points sur les prix de l'essence à retenir. Depuis que notre révolution des schistes a pris son envol en 2008, avec une production en hausse de près de 55%, le gaz naturel a baissé et son prix est devenu plus stable. Pourtant, malgré une production record, les prix de l’essence aux États-Unis depuis novembre ont atteint leur plus grande volatilité depuis 2009. |
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L'USDA sans impact
Après avoir suscité beaucoup d'attentes et de discussions, l'USDA n'a eu qu'un impact très limité sur les cotations américaines et européennes. Très attendu par les opérateurs, le rapport USDA de vendredi dernier n'aura finalement eu qu'un impact très limité sur le marché. Le ministère américain de l'agriculture a pourtant publié des chiffres importants à relever. Parmi ceux-là, les surfaces US sur la campagne 2019/2020 ont été annoncées en baisse de 2 % par rapport à l'an dernier. Le consensus attendait toutefois un chiffre en diminution de 4 %. Autre élément notable, la production US de maïs 2017/2018 a été diminuée de 5 Mt, tandis que la moisson argentine a été relevée de 3,5 Mt à 46 Mt (un record)! Malgré ce dernier chiffre, le maïs a finalement réussi à initier un petit rebond après 10 séances sans gains. Toujours en Amérique du Sud, la récolte brésilienne de soja a été réduite de 5 Mt. Au regard des conditions sèches qui touchent le pays depuis des mois, ce chiffre n'a toutefois pas surpris le marché. À noter également, l'USDA n'a pas été la seule entité à animer la séance. L'Égypte a en effet confirmé son désintérêt pour les origines russes en contractualisant 130 kt de blé français, 120 kt américain, et 60 kt roumain. |
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